Suite Du "Hazard Fait Bien Les Chose"

J’avais été invité à une soirée apéro entre hommes, des amis que j’avais au club de tennis (voir récit précédent).
Je m’y rendais avec encore en mémoire la vision de mon ami Bernard en train de faire une superbe fellation à un homme (dont je su après qu’il s’appelait Christian) et ensuite se faire sodomiser dans le vestiaire du club.
Je me rendais chez lui, imaginant les différentes situations possibles, est ce que ce sera juste une soirée potes, ou est ce que c’est un traquenard qui va dégénérer en orgie sordide entre mecs.
Qu’à cela ne tienne, j’étais très attiré de par ce que j’avais vu et ensuite, je n’avais rien à perdre.
Je garais ma voiture dans la rue et sonnais au pavillon, Bernard vint m’accueillir, je lui demandais si sa femme était là, il me répondit sur un ton d’humour qu’il en profitait pour faire une soirée Tupperware entre homme.
Il y avait déjà du monde, que je connaissais du club de tennis entre autre le fameux Christian environ 47 ans, deux autres membres du club même âge et un jeune environ 25 ans qui venait parfois jouer mais que je connaissais que de vue. Tous mariés excepté le jeune.
Ca discutait de choses et d’autres, tennis, boulot, femmes……et on buvait copieusement. Après une bonne heure de palabre, Bernard arriva de la cuisine et nous dit à tous « maintenant piscine ». Je savais qu’il s’était fait faire un petit bassin dans son sous sol, de 5mètres sur 4, très sympa avec une petite plage de bain de 2 mètre de large.
On descendit tous, admirant sa piscine, et on se déshabilla dans une petite salle qui comportait aussi une douche.
Bernard me prit à part pendant que les autres se mettait en tenu, et me dit très gentiment, «écoute, je t’ai invité parce que j’ai vu dans les vestiaires que tu me matais pas mal et surtout ma queue» je rougis et lui dit que non, pas spécialement, mais……il ne me laissa pas finir et continua «les amis sont tous venus pour se faire plaisir, on est libre de faire ce que l’on veut avec qui on veut.

Si tu es choqué par ce que tu vois, tu peux partir, ou même rester si tu ne veux pas participer ce n’est pas un problème. Cela dit tu devrais te laisser aller un peu, ta femme ce n’est pas une chaude…..mais au cas où, je te demande la confidentialité complète mais je sais que je peux compter sur toi». Je lui répondis que je me doutais quand même un peu et je verrai sur place.
Nous sommes descendus, et nous nous sommes déshabillés. Je lui demandai gentiment s’il avait un maillot de bains et il se mit à rire en disant que je n’en aurai pas besoin.
Effectivement, dans la piscine tout le monde était nu, et déjà des couples s’étaient constitués, 2 magnifique 69 sur la plage de bain.
Bernard m’invita dans l’eau, et nous nous sommes mis à observer les autres. Sous l’eau je sentis une main qui me caressait le ventre et irrésistiblement je me mis à bander. Il s’en aperçu et me saisis la queue dans sa main. Je ne bougeais plus, un peu confus du plaisir que je ressentais et honteux aussi. Il me prit ma main et la posa sur son sexe bandé. C’était la première fois que je touchais un sexe, agréable, doux et souple, je connaissais le mien, mais la sensation de posséder celui d’un autre m’excitait encore plus. Il me dit viens on sera mieux dehors. Je remontais à l’échelle et il en profita pour m’embrasse mes fesses, je m’arrêtais à la moitié de l’échelle et me laissais faire, sa langue s’insinua jusqu’à mon anus. Il écartait les deux globes pour pénétrer encore plus avec sa langue. J’ai cru que j’allais éjaculer sur place.
Il s’en rendit compte et arrêta, il me prit par la main et m’amena sur un matelas mousse, de son autre main il me flatta le bas du dos et mes fesses.
Je m’allongeai sur le dos et immédiatement il se pencha entre mes jambes écartées et enfourna intégralement mon sexe. Pratiquement dans l’instant j’éjaculais dans sa bouche, un orgasme foudroyant, je sentais mon sperme gicler et lui continuer à mes pomper. Je m’allongeais à son côté de façon que nous soyons tête bêche et amenai ma queue face à son visage.
Il ne se fit pas prier. Les mains bien agrippées à mes fesses, il reprit les va-et-vient, les agrémentant de mouvement de langues autour de mon gland, ’étais de plus en plus fasciné par son sexe. J’avais perdu toute mesure. Je me suis approché et j’ai posé mes lèvres sur son gland. Un cri lui a échappé. Fou d’excitation, je l’ai pris entièrement dans ma bouche. Sa queue était bonne, douce sous mes lèvres et je voulais la garder là pour toujours. Je léchais son gland tout en appuyant avec mes lèvres le long de sa tige, j’allais lentement de bas en haut, hypnotisé, sentant l’odeur des ses bourses, allant de plus en plus profond. Tout à coup, il a gémi et, sans prévenir, s’est déversé en moi. D’abord surpris, cette jouissance finit de me rendre dingue et je me mis à le sucer encore plus fort. Il criait presque à chaque giclée, ça n’en finissait plus, je buvais son sperme comme si ma vie en dépendait, j’essayais de l’aspirer tout entier. Il se tortillait, jouissait dans ma bouche et enfin, il se détendit. J’aimais le gout de son sperme, je venais de découvrir une autre forme d’amour. Loin de culpabiliser, je regardais un des couples qui baisait en levrette, j’en avais envie, je voyais Christian s’activer dans le cul du jeune homme et celui-ci ahanait à chaque pénétration.
Bernard me releva et me conduisit dans la salle de bain. Dans la baignoire, tout en se lavant, nous nous caressions, Il me caressait les fesses et passait son doigt sur mon anus. Il me dit « lève-toi et mets une jambe sur le rebord de la baignoire, je vais préparer ton petit trou du cul. Fais doucement s’il te plait, personne n’est jamais passé par là !
Pas d’inquiétudes, je vais y aller doucement au début et je vais bien lubrifier l’entrée. Je m’exécute et me retrouve alors debout, une jambe relevée sur le bord de la baignoire et Jean-Pierre à genoux a u niveau de mon cul. Je me sens complètement offert à lui et je sens mon anus s’ouvrir aux fantasmes de mon initiateur. Sa langue se pose soudain sur ma grotte, la sensation m’électrise et me provoque un petit sursaut, mais Bernard sait très bien ce qu’il fait et semble être un expert en la matière.
Il dépose de la salive sur mon anus et l’étale avec sa langue. « Je vais te mettre des doigts dans le cul pour t’ouvrir un peu » me dit-il.
Effectivement, très vite, un doigt vient se poser à l’entrée de mon petit trou, l’inquiétude me gagne et ressentant le malaise, Bernard se fait de plus en plus doux, il caresse l’intérieur des mes cuisses, me lèche à nouveau l’anus et remet son doigt à l’entrée. Très lentement, je sens son doigt s’introduire dans mon cul, puis en ressortir presque aussitôt, il refait cela plusieurs fois, puis introduit un deuxième doigt, me faisant légèrement grogner de douleur et de surprise. Il me doigte le cul avec son index et son majeur, la sensation est agréable et très peu douloureuse, mais je sais que le plus gros reste à venir. Et il se trouve que Bernard commence à s’impatienter lui aussi. Il me demande de me mettre à quatre pattes sur le tapis de bain et de me cambrer au maximum pour bien lui offrir mon cul. Dans cette position, je sens qu’il peut faire ce qu’il veut de mon anus, je suis totalement soumis à ses moindres désirs. Encore un peu de salive déposée sur mon petit trou et déjà je sens son sexe se positionner sur mon anus. Cette fois, ça y est, pour la première fois de ma vie, une queue va pénétrer ma grotte encore vierge. J’essaye tant bien que mal de me décontracter, mais le stress et la peur me paralysent et mon anus ne veut pas céder sous la pression exercée par Jean-Pierre. Il recommence alors ses caresses et sa délicatesse me permet petit à petit de me détendre, il en profite pour entamer sa progression, millimètre par millimètre, et bientôt, c’est son gland qui est entré en entier dans mon cul. Aucune véritable douleur ne se fait sentir, mais j’ai bien remarqué que son sexe est plus épais au niveau de la tige. Le voilà qui rentre sa queue progressivement au fond de mes entrailles et même si une douleur plus vive se fait sentir, elle reste tout à fait supportable. Je ne sais pas si c’est la délicatesse de Bernard ou le fait que mon cul puisse supporter ce genre d’intrusion très facilement, mais lorsque Bernard est entré complètement en moi, je ne peux pas dire avoir eu vraiment mal.
Sentant ce bien être et certainement encouragé par mes gémissements de plaisir, il accélère ses mouvements et des sensations d’extase me parcourent tout le corps, des pieds à la tête. Je n’aurais pas imaginé prendre autant de plaisir à me faire enculer. Je peux entendre le plaisir de Bernard et le sentir également, en effet, il accélère encore légèrement ses mouvements de bassin, puis soudainement se retire de mon anus. Bernard ne peut se retenir très longtemps et plusieurs jets de sperme chaud m’inondent les entrailles. Cette sensation de recevoir ce liquide au fond du cul est l’un des meilleurs moments de la soirée. Puis, il se retire de mon anus et presque aussitôt, son sperme me coule le long des jambes. Avec sa main il récupère une partie du fruit de sa jouissance et me la donne à lécher, ce que je fais sans dégoût. J’aime même beaucoup ça.
La soirée s’est continué, je crois que tout le monde m’a enculé ce soir là, j’ai moi-même sodomiser le jeune homme, et j’ai bu le sperme de tout le monde. Quelle soirée.
Quand Bernard m’en parle, il me dit toujours, « pour une initiation tu as eu la totale ».
Nous nous revoyons tous les mercredi soir, ma sexualité est débordante, ma femme ne comprend pas, elle appelle ca le retour de jeunesse………si elle savait ! ! !

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